
∞-∞ GÉNÉRIQUE ∞-∞
Tournage du juin / juillet 2009
Lieux de tournage : Ville de Plessis Luzarches, ville de Montagny Sainte Felicite, Ville de Lassy, Ville de Marines,
Créée par Laurent Chouchan, Michel Lengliney et Philippe Niang
Réalisateur : Christophe Barbier
Son : Pierre Donnadieu
Montage : Catherine Renault
Scénario, adaptation et dialogues : Hélène Woillot
Musique : Didier Vasseur, Roland Romanelli et Une Musique
Costumes : Sylvie Laskar et Valérie Adda
Décors : Alain Paroutaud
Réalisateur : Christophe Barbier
Son : Pierre Donnadieu
Montage : Catherine Renault
Scénario, adaptation et dialogues : Hélène Woillot
Musique : Didier Vasseur, Roland Romanelli et Une Musique
Costumes : Sylvie Laskar et Valérie Adda
Décors : Alain Paroutaud
Habillages : Sylvie Laskar et Valérie Adda
Directeur de production : Vincent Bercholz
Maquilleuse : Bénédicte Goussaud
Coiffeur : Patrick Peloille
Direction artistique de la fiction de TF1 : Karine Evrard-Julia et Nathalie Laurent
Directeur de la photographie : Alain Ducousset
Photographes : Manuelle Toussaint, David Merle et Aurélien Faidy
∞-∞ PERSONNAGES PRINCIPAUX ∞-∞
Mimie Mathy (Joséphine), Jean-Luc Reichmann (Antoine Blondel), Jean-Yves Berteloot (Xavier Mareuil), Nelly Alard (Laure Blondel), Capucine Delaby (Julie Blondel), Igor Mendjisky (Gaël Mareuil), Matyas Simon (Paul Blondel), Jean Pascal Abribat (Gérard), Jean-Pierre Bagot (Victor), Alain Bouzigues (L'inspecteur), Daniel-Jean Colloredo (Le médecin), Franck Adrien (Le producteur), Patrice Zonta (Le producteur), Olivier Till (Le directeur de la banque), Franck Manzoni (L'expert), Sylvie Lachat (Nadine), Mathias Jung (Le client coopérative), Gilles Louzon (Marco), Stéphanie Ruaux (La cliente coopérative), Lucie Bataille (La cliente coopérative), Chloé Dumas (L'infirmière), Claudine Acs (La cliente du marché)
∞-∞ RÉSUMÉ ∞-∞
Lorsque Joséphine apparaît, elle découvre son client, Antoine, le fusil à la main, s'apprêtant à tuer son voisin, Mareuil ! Il lui reproche d'avoir encore une fois pollué ses terres avec ses pesticides et de lui faire perdre son label de culture biologique. D'un claquement de doigts, Joséphine empêche le drame... Vingt ans que Mareuil lui pourrit la vie, selon lui. Joséphine essaie de le convaincre que ce n'est pas en tuant son voisin qu'il arrangera ses affaires. A-t-il pensé à sa femme ? A ses deux enfants ? Antoine en convainc... Mareuil le rend fou ! Joséphine comprend qu'elle est tombée en pleine guerre de voisinage. Et, si elle ne veut pas que cela dégénère en meurtre, il va falloir agir vite. Reste à comprendre pourquoi ces deux hommes se détestent autant. Car la différence de leurs agricultures, l'une intensive, l'autre biologique, n'explique pas tout. Il y a autre chose et pour ramener le calme entre les deux fermes, il faudra que Joséphine découvre les vraies raisons de cette haine...
1e diffusion le lundi 10 mai 2010 à 20h50 sur TF1 : 7 846 000 téléspectateurs
2e diffusion le lundi 4 mars 2013 à 20h55 sur TF1 : 5 941 000 téléspectateurs
3e diffusion le mercredi 14 août 2013 à 14h00 sur TF1
4e diffusion le mercredi 12 mars 2014 à 15h35 sur TF1
5e diffusion le mercredi 3 décembre 2014 à 14h00 sur TF1
6e diffusion le jeudi 31 décembre 2015 à 15h55 sur TF1
7e diffusion le mercredi 2 novembre 2016 à 20h55 sur NT1 : 655 000 téléspectateurs
8e diffusion le mercredi 16 novembre 2016 à 22h45 sur NT1
9e diffusion le mercredi 22 février 2017 à 13h50 sur TF1
10e diffusion le mardi 19 mai 2020 à 13h55 sur TF1
11e diffusion le samedi 9 janvier 2021 à 21h05 sur TF1 Séries Films : 514 000 téléspectateurs
12e diffusion le samedi 16 janvier 2021 à 22h55 sur TF1 Séries Films
13e diffusion le samedi 5 mars 2022 à 21h05 sur TF1 Séries Films : 396 000 téléspectateurs
14e diffusion le samedi 19 mars 2022 à 22h45 sur TF1 Séries Films

∞-∞ INTERVIEW ∞-∞
Mimie Mathy, l'ange gardien de Jean-Luc Reichmann
Après le téléfilm « Le monde est petit », le présentateur s'essaie de nouveau à la comédie aux côtés de l'héroïne de TF1. Nous avons rencontré le duo sur le tournage.
Pas facile de composer avec des partenaires à plumes ! En ce lundi 20 juillet, des membres de l'équipe de Joséphine, ange gardien courent après des poules dans un enclos pour les faire entrer dans le champ de la caméra. « Elles étaient bien tout à l'heure pour la répétition ! ». L'assistant-réalisateur s'énerve, impatient de mettre en boîte cette scène du 51e opus de la série, tourné dans un corps de ferme du village du Plessis-Luzarches (Val-d'Oise). « C'est un épisode très agricole, plein de bestioles, s'amuse Mimie Mathy. Sauf que la campagne, c'est ce n'est pas le truc de Joséphine ! ». Après la séquence du poulailler, elle file à l'intérieur de la propriété pour donner la réplique à un autre drôle d'oiseau : Jean-Luc Reichmann, affublé d'un marcel et d'une fine moustache à la Clark Gable. « Je voulais marquer une rupture physique avec ce que les téléspectateurs ont l'habitude de voir », explique l'animateur qui campe le « client » de Joséphine, un agriculteur défenseur du bio en guerre contre son voisin aux méthodes intensives. « TF1 impose souvent des guest stars au générique de ses fictions, mais je suis agréablement surpris par Jean-Luc, admet le réalisateur Christophe Barbier. Il est disponible et à l'écoute. Je vais réussir à faire de lui un paysan ! » Très concentré, Jean-Luc Reichmann arpente la pièce en silence, puis part dans un fou rire avec Mimie Mathy parce qu'elle trébuche sur le terme « pesticides ». Après le tournage, tous deux nous détaillent cette expérience.
TV Grandes Chaînes : Est-ce que vous vous connaissiez avant de tourner ensemble ?
Mimie Mathy : On s'était croisés lors du mariage d'un ami commun, Patrick Fiori, et nous avions sympathisé. Jean-Luc avait fait la démonstration de ses talents d'imitateur pendant la soirée !
Jean-Luc Reichmann : C'est une très belle rencontre. Mimie sait insuffler de la bonne humeur sur le plateau et chante avec moi entre deux prises. Elle battrait n'importe qui dans une émission de karaoké, elle connaît toutes les chansons françaises du XXe siècle par c½ur !
TV Grandes Chaînes : Mimie, que pensez-vous de la présence, dans cette série, d'invités qui ne sont pas des acteurs de métier ?
Mimie Mathy : Je n'encourage pas spécialement cette pratique, mais je suis ravie d'accueillir des invités prestigieux. Jean-Luc est conscient de ses limites, humble et attentif aux conseils. C'est un camarade de travail agréable, qui me souffle même mes répliques quand je patine !
Jean-Luc Reichmann : Vous savez, j'ai un passé de comédien. Quand je suis arrivé à Paris, j'ai écumé les castings. J'ai participé à une comédie musicale rock et j'ai joué des petits rôles dans « Nestor Barma » et « Navarro ». Comme ça ne marchait pas, je suis passé à autre chose, mais je voulais revenir à la comédie un jour. J'anime « Attention à la marche ! » depuis maintenant huit ans, j'ai envie de m'aérer l'esprit et de diversifier mes activités.
TV Grandes Chaînes : Comment vous êtes-vous préparé ?
Jean-Luc Reichmann : Je ne pouvais pas juste claquer des doigts comme Joséphine ! J'ai travaillé comme un dingue, en amont, avec un copain de la Ligue d'improvisation pour entrer dans ce rôle, et aussi pour me débarrasser des tics d'animateur de télé. Si les téléspectateurs ne voient plus Jean-Luc Reichmann, ce sera gagné ! Mimie m'aide beaucoup, elle me laisse du temps et répète le texte avec moi chaque matin.
TV Grandes Chaînes : Mimie, comment Joséphine, ange gardien a évolué depuis son lancement en 1997 ?
Mimie Mathy : Le plus gros changement, c'est que la chaîne et la production m'ont donné le feu vert pour que je réécrive mes textes ! J'ajoute des pointes d'humour et des clins d'½il, les fameuses « Joséphinades ». La série aborde aussi de plus en plus des thèmes de société et des sujets graves comme le chômage, la maladie et l'adoption. Mais les histoires se terminent toujours bien, contrairement à ce qui se passe dans la vie. Tant pis si cela en dérange certains ! J'estime faire un programme de qualité et non pas une bouse comme « Secret Story » !
TV Grandes Chaînes : Vous n'éprouvez aucune lassitude à la longue ?
Mimie Mathy : Non, d'ailleurs je viens de signer pour 15 nouveaux épisodes. Je vais ainsi incarner Joséphine jusqu'en 2012. Il n'y a pas de routine parce qu'a la différence de mes camarades des autres séries récurrentes, je change d'univers et de métier à chaque épisode ! Pompier, jeune fille au pair, magicienne, soigneuse de joueurs de rugby... Joséphine touche à tout et s'est même offert un voyage dans le temps, au Moyen Age.
TV Grandes Chaînes : Comment expliquez-vous votre popularité auprès des Français ?
Mimie Mathy : Je crois que je fais du bien à mon public en assumant mon 1.32 mètre. Ça doit les aider à supporter leurs propres problèmes.
Jean-Luc Reichmann : Tu fais de la différence une ressemblance. Tu as dû en baver quand tu étais ado, comme moi avec mon angiome sur le nez.
Mimie Mathy : Même pas ! Mes parents ne se sont jamais apitoyés sur mon sort et ils m'ont appris à relativiser. Ils me montraient, par exemple, une petite fille en fauteuil roulant en me rappelant que j'avais la chance d'être autonome. Toi, tu assumes ta tache.
Jean-Luc Reichmann : Au début des « Z'amours », je la cachais avec du maquillage, puis je me suis rebellé ! Je suis ce que je suis, j'essaie de ne pas me prendre au sérieux et de garder les pieds sur terre. C'est sûrement ce que les gens apprécient en moi.
TV Grandes Chaînes : Quels sont vos projets après ce tournage ?
Jean-Luc Reichmann : Je ne me suis pas accordé de vacances cet été. J'ai enchaîné avec le tournage du pilote d'un jeu, dont le titre provisoire est « Comme les deux doigts d'une mouffle ». Deux équipes de copains ou de parents s'affrontent sur des questions de culture générale. Ce divertissement n'a pas vocation à remplacer « Attention à la marche ! », qui est toujours à l'antenne après la rentrée. Puis je tournerai le pilote de « Victor Sauvage », une nouvelle série de TF1 dans laquelle je camperai un vétérinaire mal dégrossi.
Mimie Mathy : Comme je travaille beaucoup pendant les six premiers mois de l'année avec les tournages de Joséphine, ange gardien, je ne veux pas mettre ma vie privée en danger. Après l'enregistrement de cet épisode, j'ai rejoint ma tribu dans ma maison du Vaucluse. Je dois aussi garder du temps pour plancher sur mes livres pour enfants, dont une partie des droits est reversée à des associations, et du temps pour l'UNICEF France, qui a fait de moi sa nouvelle ambassadrice. Je pars à la fin du mois d'octobre au Burkina Faso, en compagnie de mon mari, pour une mission consacrée à la santé et à l'éducation. C'est important d'y aller à deux parce que c'est une sacrée charge, mais je vais réussir à faire bouger tout ça !
Pas facile de composer avec des partenaires à plumes ! En ce lundi 20 juillet, des membres de l'équipe de Joséphine, ange gardien courent après des poules dans un enclos pour les faire entrer dans le champ de la caméra. « Elles étaient bien tout à l'heure pour la répétition ! ». L'assistant-réalisateur s'énerve, impatient de mettre en boîte cette scène du 51e opus de la série, tourné dans un corps de ferme du village du Plessis-Luzarches (Val-d'Oise). « C'est un épisode très agricole, plein de bestioles, s'amuse Mimie Mathy. Sauf que la campagne, c'est ce n'est pas le truc de Joséphine ! ». Après la séquence du poulailler, elle file à l'intérieur de la propriété pour donner la réplique à un autre drôle d'oiseau : Jean-Luc Reichmann, affublé d'un marcel et d'une fine moustache à la Clark Gable. « Je voulais marquer une rupture physique avec ce que les téléspectateurs ont l'habitude de voir », explique l'animateur qui campe le « client » de Joséphine, un agriculteur défenseur du bio en guerre contre son voisin aux méthodes intensives. « TF1 impose souvent des guest stars au générique de ses fictions, mais je suis agréablement surpris par Jean-Luc, admet le réalisateur Christophe Barbier. Il est disponible et à l'écoute. Je vais réussir à faire de lui un paysan ! » Très concentré, Jean-Luc Reichmann arpente la pièce en silence, puis part dans un fou rire avec Mimie Mathy parce qu'elle trébuche sur le terme « pesticides ». Après le tournage, tous deux nous détaillent cette expérience.
TV Grandes Chaînes : Est-ce que vous vous connaissiez avant de tourner ensemble ?
Mimie Mathy : On s'était croisés lors du mariage d'un ami commun, Patrick Fiori, et nous avions sympathisé. Jean-Luc avait fait la démonstration de ses talents d'imitateur pendant la soirée !
Jean-Luc Reichmann : C'est une très belle rencontre. Mimie sait insuffler de la bonne humeur sur le plateau et chante avec moi entre deux prises. Elle battrait n'importe qui dans une émission de karaoké, elle connaît toutes les chansons françaises du XXe siècle par c½ur !
TV Grandes Chaînes : Mimie, que pensez-vous de la présence, dans cette série, d'invités qui ne sont pas des acteurs de métier ?
Mimie Mathy : Je n'encourage pas spécialement cette pratique, mais je suis ravie d'accueillir des invités prestigieux. Jean-Luc est conscient de ses limites, humble et attentif aux conseils. C'est un camarade de travail agréable, qui me souffle même mes répliques quand je patine !
Jean-Luc Reichmann : Vous savez, j'ai un passé de comédien. Quand je suis arrivé à Paris, j'ai écumé les castings. J'ai participé à une comédie musicale rock et j'ai joué des petits rôles dans « Nestor Barma » et « Navarro ». Comme ça ne marchait pas, je suis passé à autre chose, mais je voulais revenir à la comédie un jour. J'anime « Attention à la marche ! » depuis maintenant huit ans, j'ai envie de m'aérer l'esprit et de diversifier mes activités.
TV Grandes Chaînes : Comment vous êtes-vous préparé ?
Jean-Luc Reichmann : Je ne pouvais pas juste claquer des doigts comme Joséphine ! J'ai travaillé comme un dingue, en amont, avec un copain de la Ligue d'improvisation pour entrer dans ce rôle, et aussi pour me débarrasser des tics d'animateur de télé. Si les téléspectateurs ne voient plus Jean-Luc Reichmann, ce sera gagné ! Mimie m'aide beaucoup, elle me laisse du temps et répète le texte avec moi chaque matin.
TV Grandes Chaînes : Mimie, comment Joséphine, ange gardien a évolué depuis son lancement en 1997 ?
Mimie Mathy : Le plus gros changement, c'est que la chaîne et la production m'ont donné le feu vert pour que je réécrive mes textes ! J'ajoute des pointes d'humour et des clins d'½il, les fameuses « Joséphinades ». La série aborde aussi de plus en plus des thèmes de société et des sujets graves comme le chômage, la maladie et l'adoption. Mais les histoires se terminent toujours bien, contrairement à ce qui se passe dans la vie. Tant pis si cela en dérange certains ! J'estime faire un programme de qualité et non pas une bouse comme « Secret Story » !
TV Grandes Chaînes : Vous n'éprouvez aucune lassitude à la longue ?
Mimie Mathy : Non, d'ailleurs je viens de signer pour 15 nouveaux épisodes. Je vais ainsi incarner Joséphine jusqu'en 2012. Il n'y a pas de routine parce qu'a la différence de mes camarades des autres séries récurrentes, je change d'univers et de métier à chaque épisode ! Pompier, jeune fille au pair, magicienne, soigneuse de joueurs de rugby... Joséphine touche à tout et s'est même offert un voyage dans le temps, au Moyen Age.
TV Grandes Chaînes : Comment expliquez-vous votre popularité auprès des Français ?
Mimie Mathy : Je crois que je fais du bien à mon public en assumant mon 1.32 mètre. Ça doit les aider à supporter leurs propres problèmes.
Jean-Luc Reichmann : Tu fais de la différence une ressemblance. Tu as dû en baver quand tu étais ado, comme moi avec mon angiome sur le nez.
Mimie Mathy : Même pas ! Mes parents ne se sont jamais apitoyés sur mon sort et ils m'ont appris à relativiser. Ils me montraient, par exemple, une petite fille en fauteuil roulant en me rappelant que j'avais la chance d'être autonome. Toi, tu assumes ta tache.
Jean-Luc Reichmann : Au début des « Z'amours », je la cachais avec du maquillage, puis je me suis rebellé ! Je suis ce que je suis, j'essaie de ne pas me prendre au sérieux et de garder les pieds sur terre. C'est sûrement ce que les gens apprécient en moi.
TV Grandes Chaînes : Quels sont vos projets après ce tournage ?
Jean-Luc Reichmann : Je ne me suis pas accordé de vacances cet été. J'ai enchaîné avec le tournage du pilote d'un jeu, dont le titre provisoire est « Comme les deux doigts d'une mouffle ». Deux équipes de copains ou de parents s'affrontent sur des questions de culture générale. Ce divertissement n'a pas vocation à remplacer « Attention à la marche ! », qui est toujours à l'antenne après la rentrée. Puis je tournerai le pilote de « Victor Sauvage », une nouvelle série de TF1 dans laquelle je camperai un vétérinaire mal dégrossi.
Mimie Mathy : Comme je travaille beaucoup pendant les six premiers mois de l'année avec les tournages de Joséphine, ange gardien, je ne veux pas mettre ma vie privée en danger. Après l'enregistrement de cet épisode, j'ai rejoint ma tribu dans ma maison du Vaucluse. Je dois aussi garder du temps pour plancher sur mes livres pour enfants, dont une partie des droits est reversée à des associations, et du temps pour l'UNICEF France, qui a fait de moi sa nouvelle ambassadrice. Je pars à la fin du mois d'octobre au Burkina Faso, en compagnie de mon mari, pour une mission consacrée à la santé et à l'éducation. C'est important d'y aller à deux parce que c'est une sacrée charge, mais je vais réussir à faire bouger tout ça !
∞-∞ DROIT D'AUTEUR ∞-∞
TV Grandes Chaînes n°143 du 19 septembre au 2 octobre 2009
Propos recueillis par Olivia Moulin
Droit d'auteur de cette interview
Propos recueillis par Olivia Moulin
Droit d'auteur de cette interview

∞-∞ INTERVIEW ∞-∞
Mimie Mathy : "J'étais ravie de jouer avec Jean-Luc Reichmann"
L'ange gardien de TF1 nous parle de sa collaboration avec l'animateur d'Attention à la marche !
Quel est le ressort de ce nouvel épisode ?
Mimie Mathy : C'est un épisode très agricole, où Joséphine vient en aide à un agriculteur féru de bio qui se fait embêter par son voisin, agriculteur aux méthodes intensives. Mais derrière cette guéguerre de voisinage, il y a un un autre problème qui les ronge depuis vingt ans et qu'elle va découvrir. Sauf que la campagne ne réussit pas du tout à Joséphine ! Elle ne sait rien, confond petits pois et haricots verts, elle est pathétique cette pauvre fille ! Ce n'est pas trop mon truc non plus la campagne, je ne suis pas fan des bestioles et bebêtes en tout genre, mais j'étais contente de tourner au vert plutôt que dans les pots d'échappement de Paris ! Et puis j'étais ravie de jouer de nouveau avec Jean-Yves Berteloot, qui avait déjà joué dans un épisode de Joséphine, ange gardien en 1999, et avec Jean-Luc Reichmann, à qui je donnais la réplique pour la première fois.
Est-ce que vous le connaissiez avant de l'accueillir sur ce tournage ?
Mimie Mathy : Pas vraiment non, on s'était juste croisés une fois au mariage de notre ami commun Patrick Fiori. Je le connaissais bien comme animateur en revanche, je regarde souvent son jeu quand je suis dans ma maison du Vaucluse l'hiver, notamment l'émission du dimanche. Jean-Luc possède un authentique talent de bateleur et il s'adresse aux candidats avec gentillesse, sans se moquer d'eux, ce qui n'est pas le cas dans d'autres programmes. Il n'y a pas de vulgarité. On m'avait proposé de participer à des numéros spéciaux d'Attention à la marche !, mais je ne pouvais jamais à cause de congés ou de tournages. Je vais vous dire un truc bête, peut-être même gnangnan : Jean-Luc a eu des pépins de santé, il a une tache sur le nez qu'il aurait pu se faire enlever, mais il assume ce qu'il est et ce qu'il fait et il se fiche de ne pas plaire à tout le monde. Ça me plaît.
Et qu'avez-vous pensé de sa prestation comme comédien ?
Mimie Mathy : Il a encore des choses à apprendre, c'est normal, c'est un vrai métier qu'il découvre. Si je devais me lancer dans l'animation, je ne serais pas très à l'aise non plus au début ! Mais il s'est montré très professionnel et à l'écoute des remarques des membres de l'équipe pendant le tournage. Du coup, ça s'est très bien passé.
Quel est le ressort de ce nouvel épisode ?
Mimie Mathy : C'est un épisode très agricole, où Joséphine vient en aide à un agriculteur féru de bio qui se fait embêter par son voisin, agriculteur aux méthodes intensives. Mais derrière cette guéguerre de voisinage, il y a un un autre problème qui les ronge depuis vingt ans et qu'elle va découvrir. Sauf que la campagne ne réussit pas du tout à Joséphine ! Elle ne sait rien, confond petits pois et haricots verts, elle est pathétique cette pauvre fille ! Ce n'est pas trop mon truc non plus la campagne, je ne suis pas fan des bestioles et bebêtes en tout genre, mais j'étais contente de tourner au vert plutôt que dans les pots d'échappement de Paris ! Et puis j'étais ravie de jouer de nouveau avec Jean-Yves Berteloot, qui avait déjà joué dans un épisode de Joséphine, ange gardien en 1999, et avec Jean-Luc Reichmann, à qui je donnais la réplique pour la première fois.
Est-ce que vous le connaissiez avant de l'accueillir sur ce tournage ?
Mimie Mathy : Pas vraiment non, on s'était juste croisés une fois au mariage de notre ami commun Patrick Fiori. Je le connaissais bien comme animateur en revanche, je regarde souvent son jeu quand je suis dans ma maison du Vaucluse l'hiver, notamment l'émission du dimanche. Jean-Luc possède un authentique talent de bateleur et il s'adresse aux candidats avec gentillesse, sans se moquer d'eux, ce qui n'est pas le cas dans d'autres programmes. Il n'y a pas de vulgarité. On m'avait proposé de participer à des numéros spéciaux d'Attention à la marche !, mais je ne pouvais jamais à cause de congés ou de tournages. Je vais vous dire un truc bête, peut-être même gnangnan : Jean-Luc a eu des pépins de santé, il a une tache sur le nez qu'il aurait pu se faire enlever, mais il assume ce qu'il est et ce qu'il fait et il se fiche de ne pas plaire à tout le monde. Ça me plaît.
Et qu'avez-vous pensé de sa prestation comme comédien ?
Mimie Mathy : Il a encore des choses à apprendre, c'est normal, c'est un vrai métier qu'il découvre. Si je devais me lancer dans l'animation, je ne serais pas très à l'aise non plus au début ! Mais il s'est montré très professionnel et à l'écoute des remarques des membres de l'équipe pendant le tournage. Du coup, ça s'est très bien passé.

∞-∞ INTERVIEW ∞-∞
Mimie Mathy : « Reichmann était pétrifié ! »
La personnalité féminine préférée des Français donne ce soir la réplique à Jean-Luc Reichmann. Mais il n'y a pas que Joséphine dans la vie de Mimie Mathy. Elle multiplie les projets et prend ses différents rôles très au sérieux...
TV MAG : Mimie Mathy, après Fabien Galthié ou Arthur Jugnot, vous accueillez Jean-Luc Reichmann en guest. Pour casser la routine ?
Mimie Mathy : Quand le rôle s'y prête, c'est très sympa de tourner avec des copains. Liane Foly a fait partie du casting pour un épisode en costumes d'époque qui sera diffusé à la rentrée : on s'est vraiment amusées. J'ai rencontré Jean-Luc à l'occasion du tournage. Il est adorable et très professionnel, même s'il ne possède pas une très grande expérience de la fiction. Comme le tournage a eu lieu avant celui de Victor Sauvage, il était pétrifié ! Mais il est très à l'écoute de ce qu'on peut lui apporter.
TV MAG : Des guests et des costumes : c'est la recette du bonheur pour Joséphine ?
Mimie Mathy : En ce qui concerne les costumes, j'en suis vite revenue ! Pour l'épisode avec Liane, j'avais sur la tête une énorme perruque à la Marie-Antoinette. C'était une expérience très enrichissante, mais je suis soulagée de reprendre des tenues légères... Surtout pour l'été ! Alterner, c'est l'idéal. Question guests, je rêve de tourner un épisode avec Garou ou Lorie.
TV MAG : Entre vos livres, la préparation de votre spectacle, votre engagement humanitaire, n'êtes-vous pas surbookée ?
Mimie Mathy : Je suis quelqu'un de très organisé. J'ai la chance d'avoir un mari qui me suit, ce qui permet de multiplier les projets tout en préservant ma vie privée. D'autant qu'ils me tiennent tous à c½ur. Grâce à mes livres, je peux soutenir des associations. Je devais partir en juin à Haïti avec l'Unicef. Mais le voyage a finalement été repoussé à l'automne. En ce moment, ils ont plus besoin de main-d'½uvre pour reconstruire que d'un ange gardien qui ne l'est qu'à la télévision !
TV MAG : Dernièrement, on vous a vue dans une publicité pour une lessive...
Mimie Mathy : Je refuse beaucoup de projets de ce type. Celui-ci m'a vraiment marquée. Avec Patrice Leconte, le réalisateur, nous avons travaillé le propos. J'espère qu'on pourra la décliner, comme celle de George Clooney et sa machine à café (rires) !
À savoir :
Le troisième livre pour enfants de sa collection Mimie, raconte-moi est paru chez Plon Jeunesse. L'ouvrage, qui s'intitule Djamel & Mégane : même pas peur !, s'accompagne d'un CD audio. Les bénéfices seront reversés à l'Association Laurette Fugain.
TV MAG : Mimie Mathy, après Fabien Galthié ou Arthur Jugnot, vous accueillez Jean-Luc Reichmann en guest. Pour casser la routine ?
Mimie Mathy : Quand le rôle s'y prête, c'est très sympa de tourner avec des copains. Liane Foly a fait partie du casting pour un épisode en costumes d'époque qui sera diffusé à la rentrée : on s'est vraiment amusées. J'ai rencontré Jean-Luc à l'occasion du tournage. Il est adorable et très professionnel, même s'il ne possède pas une très grande expérience de la fiction. Comme le tournage a eu lieu avant celui de Victor Sauvage, il était pétrifié ! Mais il est très à l'écoute de ce qu'on peut lui apporter.
TV MAG : Des guests et des costumes : c'est la recette du bonheur pour Joséphine ?
Mimie Mathy : En ce qui concerne les costumes, j'en suis vite revenue ! Pour l'épisode avec Liane, j'avais sur la tête une énorme perruque à la Marie-Antoinette. C'était une expérience très enrichissante, mais je suis soulagée de reprendre des tenues légères... Surtout pour l'été ! Alterner, c'est l'idéal. Question guests, je rêve de tourner un épisode avec Garou ou Lorie.
TV MAG : Entre vos livres, la préparation de votre spectacle, votre engagement humanitaire, n'êtes-vous pas surbookée ?
Mimie Mathy : Je suis quelqu'un de très organisé. J'ai la chance d'avoir un mari qui me suit, ce qui permet de multiplier les projets tout en préservant ma vie privée. D'autant qu'ils me tiennent tous à c½ur. Grâce à mes livres, je peux soutenir des associations. Je devais partir en juin à Haïti avec l'Unicef. Mais le voyage a finalement été repoussé à l'automne. En ce moment, ils ont plus besoin de main-d'½uvre pour reconstruire que d'un ange gardien qui ne l'est qu'à la télévision !
TV MAG : Dernièrement, on vous a vue dans une publicité pour une lessive...
Mimie Mathy : Je refuse beaucoup de projets de ce type. Celui-ci m'a vraiment marquée. Avec Patrice Leconte, le réalisateur, nous avons travaillé le propos. J'espère qu'on pourra la décliner, comme celle de George Clooney et sa machine à café (rires) !
À savoir :
Le troisième livre pour enfants de sa collection Mimie, raconte-moi est paru chez Plon Jeunesse. L'ouvrage, qui s'intitule Djamel & Mégane : même pas peur !, s'accompagne d'un CD audio. Les bénéfices seront reversés à l'Association Laurette Fugain.
∞-∞ DROIT D'AUTEUR ∞-∞
TV MAG
Droit d'auteur de cette interview
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∞-∞ INTERVIEW ∞-∞
Mimie Mathy : « Je rêve de jouer la méchante dans un "James Bond" »
Pas de vacances cet été pour Mimie Mathy. La comédienne tourne un nouvel épisode de « Joséphine, ange gardien » aux côtés de Jean-Luc Reichmann. C'est à Luzarches, un petit village situé à 30 km de Paris, que l'ange gardien le plus célèbre de la télé nous a invités à assister au tournage et a répondu, avec la bonne humeur qui la caractérise, à nos questions.
Cine Télé Revue : « Ennemis jurés » est le 51e épisode de « Joséphine, ange gardien ». Comment expliquez-vous la longévité de cette série ?
Mimie Mathy : Si je le savais, toutes les fictions marcheraient bien ! Je pense que son succès tient au fait que chaque épisode est un unitaire. Il n'y a pas de décors identiques ni de comédiens récurrents, à part moi.
Cine Télé Revue : Même en rediffusion, la série marque toujours des points et se retrouve leader, que ce soit sur TF1 ou sur la Une !
Mimie Mathy : Je vais vous faire une confidence. Quand TF1 m'a annoncé que « Joséphine » allait revenir pour la troisième fois en rediffusion durant les vacances, j'ai été affolée car je me suis dit que les gens allaient se lasser. Mais lorsque j'ai vu les résultats du dernier épisode – plus de 5 millions de téléspectateurs – alors que sur les autres chaînes, il y avait des programmes inédits, j'ai remercié mon ange gardien !
Cine Télé Revue : Comment se passe le tournage avec Jean-Luc Reichmann ?
Mimie Mathy : Eh bien, c'est une sacrée performance pour lui, car être comédien, c'est tout de même un métier... Jean-Luc est d'une très grande générosité dans sa vie personnelle et professionnelle. Il est toujours à l'écoute et prêt à prendre en considération ma petite expérience de comédienne.
Cine Télé Revue : Lorsque vous recevez un nouveau scénario, vous arrive-t-il de modifier les textes ?
Mimie Mathy : Oui. Je retouche beaucoup les dialogues. Tous ceux qui me connaissent le savent. Les scénaristes écrivent une très bonne base, mais il y a des « joséphinades » comme on dit ici qui s'ajoutent lors des tournages. Je n'ai pas honte de vous dire que les réalisateurs ont l'ordre de me laisser ajouter mes petits trucs. Il y a beaucoup de Mimie dans les dialogues...
Cine Télé Revue : Est-il vrai que vous ne pouvez pas tout aborder dans les « Joséphine » ?
Mimie Mathy : Difficile de vous répondre, car nous avons déjà abordé tous les thèmes, comme celui de l'homosexualité. C'est d'ailleurs l'un des épisodes qui n'a toujours pas été rediffusé. J'en garde un excellent souvenir et je profite de cette interview pour lancer un appel à TF 1 ou à la RTBF pour qu'on le repasse un jour ! (Rires.) On n'a donc pas de barrières, on parle de la maladie, des SDF, des rapports père-fils, de la non-communication...
Cine Télé Revue : N'est-ce pas difficile de toujours varier les thèmes ?
Mimie Mathy : Ils restent des faits de société traités à la manière de Joséphine, c'est-à-dire qu'ils se terminent toujours bien et non pas par trois morts... On ne souhaite pas tomber dans le trash pour en faire « Les Experts à Luzarches ». On essaie de varier les univers.
Cine Télé Revue : Pour les enfants, Joséphine a beaucoup de pouvoirs...
Mimie Mathy : Oui, mais ce fameux claquement de doigts, elle l'utilise pour faire se déplacer des objets ou pour se retrouver avec une assiette de frites, si elle a faim. Ce sont des pouvoirs « gadgets ». Joséphine est très psychologue dans sa démarche auprès de ses clients. Si les histoires devaient se résoudre avec un claquement de doigts, ce ne serait plus des fictions mais des courts métrages. (Rires.) D'un 92 minutes, on passerait à un 5 minutes !
Cine Télé Revue : N'aimeriez-vous pas changer de casquette de temps en temps ?
Mimie Mathy : Au cinéma, j'aimerais jouer dans un policier, mais les gens auraient du mal à y croire. Je l'ai déjà dit en interview et je le répète : je rêve de jouer la méchante dans un « James Bond ».
Cine Télé Revue : Le 27 novembre prochain aura lieu à Bruxelles le spectacle de « Make-a-wish », que vous connaissez très bien. Serez-vous des nôtres cette année ?
Mimie Mathy : Je ne crois pas. Comme je suis désormais ambassadrice de l'Unicef, fin novembre, je serai à l'étranger pour ma première mission. Je profite de votre magazine pour féliciter le travail de Maurane !
Cine Télé Revue : Avec votre notoriété, arrivez-vous encore à faire les boutiques ?
Mimie Mathy : C'est difficile, mais je connais mes magasins et je m'arrange pour y être toujours à l'ouverture des portes. Rassurez-vous, je peux toujours faire mes courses, mais je dois éviter le samedi après-midi...
Cine Télé Revue : « Ennemis jurés » est le 51e épisode de « Joséphine, ange gardien ». Comment expliquez-vous la longévité de cette série ?
Mimie Mathy : Si je le savais, toutes les fictions marcheraient bien ! Je pense que son succès tient au fait que chaque épisode est un unitaire. Il n'y a pas de décors identiques ni de comédiens récurrents, à part moi.
Cine Télé Revue : Même en rediffusion, la série marque toujours des points et se retrouve leader, que ce soit sur TF1 ou sur la Une !
Mimie Mathy : Je vais vous faire une confidence. Quand TF1 m'a annoncé que « Joséphine » allait revenir pour la troisième fois en rediffusion durant les vacances, j'ai été affolée car je me suis dit que les gens allaient se lasser. Mais lorsque j'ai vu les résultats du dernier épisode – plus de 5 millions de téléspectateurs – alors que sur les autres chaînes, il y avait des programmes inédits, j'ai remercié mon ange gardien !
Cine Télé Revue : Comment se passe le tournage avec Jean-Luc Reichmann ?
Mimie Mathy : Eh bien, c'est une sacrée performance pour lui, car être comédien, c'est tout de même un métier... Jean-Luc est d'une très grande générosité dans sa vie personnelle et professionnelle. Il est toujours à l'écoute et prêt à prendre en considération ma petite expérience de comédienne.
Cine Télé Revue : Lorsque vous recevez un nouveau scénario, vous arrive-t-il de modifier les textes ?
Mimie Mathy : Oui. Je retouche beaucoup les dialogues. Tous ceux qui me connaissent le savent. Les scénaristes écrivent une très bonne base, mais il y a des « joséphinades » comme on dit ici qui s'ajoutent lors des tournages. Je n'ai pas honte de vous dire que les réalisateurs ont l'ordre de me laisser ajouter mes petits trucs. Il y a beaucoup de Mimie dans les dialogues...
Cine Télé Revue : Est-il vrai que vous ne pouvez pas tout aborder dans les « Joséphine » ?
Mimie Mathy : Difficile de vous répondre, car nous avons déjà abordé tous les thèmes, comme celui de l'homosexualité. C'est d'ailleurs l'un des épisodes qui n'a toujours pas été rediffusé. J'en garde un excellent souvenir et je profite de cette interview pour lancer un appel à TF 1 ou à la RTBF pour qu'on le repasse un jour ! (Rires.) On n'a donc pas de barrières, on parle de la maladie, des SDF, des rapports père-fils, de la non-communication...
Cine Télé Revue : N'est-ce pas difficile de toujours varier les thèmes ?
Mimie Mathy : Ils restent des faits de société traités à la manière de Joséphine, c'est-à-dire qu'ils se terminent toujours bien et non pas par trois morts... On ne souhaite pas tomber dans le trash pour en faire « Les Experts à Luzarches ». On essaie de varier les univers.
Cine Télé Revue : Pour les enfants, Joséphine a beaucoup de pouvoirs...
Mimie Mathy : Oui, mais ce fameux claquement de doigts, elle l'utilise pour faire se déplacer des objets ou pour se retrouver avec une assiette de frites, si elle a faim. Ce sont des pouvoirs « gadgets ». Joséphine est très psychologue dans sa démarche auprès de ses clients. Si les histoires devaient se résoudre avec un claquement de doigts, ce ne serait plus des fictions mais des courts métrages. (Rires.) D'un 92 minutes, on passerait à un 5 minutes !
Cine Télé Revue : N'aimeriez-vous pas changer de casquette de temps en temps ?
Mimie Mathy : Au cinéma, j'aimerais jouer dans un policier, mais les gens auraient du mal à y croire. Je l'ai déjà dit en interview et je le répète : je rêve de jouer la méchante dans un « James Bond ».
Cine Télé Revue : Le 27 novembre prochain aura lieu à Bruxelles le spectacle de « Make-a-wish », que vous connaissez très bien. Serez-vous des nôtres cette année ?
Mimie Mathy : Je ne crois pas. Comme je suis désormais ambassadrice de l'Unicef, fin novembre, je serai à l'étranger pour ma première mission. Je profite de votre magazine pour féliciter le travail de Maurane !
Cine Télé Revue : Avec votre notoriété, arrivez-vous encore à faire les boutiques ?
Mimie Mathy : C'est difficile, mais je connais mes magasins et je m'arrange pour y être toujours à l'ouverture des portes. Rassurez-vous, je peux toujours faire mes courses, mais je dois éviter le samedi après-midi...
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